L'an dernier, j'avais fait la review de la SH Monsterarts du Godzilla de 2014, celui du film de Garreth Edwards ; et cette review est pour moi la pire de toute, tellement je la trouve bâclée, avec des photos immondes.
Je décide donc de rendre justice à cette figurine du Roi des Monstres en faisant un remake de la review, une Re-review. Et vu que je ne suis pas Geroges Lucas, qui détruit les copies originales de ses films pour imposer les versions remastérisées, je vais tout de même laisser en ligne la première version de cette immondice, retrouvable ici.(Pour un souci de clarté, j'ai finalement décidé de supprimé l'ancienne version ; un an après publication de celle-ci)
Pour commencer, parlons de mensuration. Godzilla mesure 16,2 cm de haut pour 32 cm de long, et pèse 284 grammes sur la balance...ça fait un sacré twinkie. Les matériaux utilisés sont annoncés par Tamashii comme étant du PVC et de l'ABS.
Godzilla dans le film mesure 108,204m...on a donc une figurine au 1/667e
Pour ce qui est de la sculpture de la figurine, la qualité est vraiment présente. Énormément de détails sont présents, que ce soit les écailles, les plis de la peau, et bien évidemment les épines dorsales.
Petit tour de la figurine...
Bientôt la moitié...
On a presque fini...
Encore un peu...
Patience...
Fini!
Petit zoom sur la sculpture de la peau et des épines dorsales.
La tête représente bien le paint-job. La figurine est entièrement peinte en noir, avec certaines parties du corps brossé à sec avec une peinture verte/kaki, comme le cou, le ventre ou le derrière des mollets.
Les détails sur la tête sont sympas, les dents sont bien sûr peintes en blanc, mais les yeux sont également faits avec précision (pas de strabisme par exemple).
La langue de Godzilla est faite indépendamment, en plus d'être articulée.
En parlant d'articulations, restons sur le sujet. La figurine en comprend 49 points, dont 23 seulement pour la queue.
Queue qui a tendance à se démonter à mi-section, si l'on sollicite trop l'articulation.
Les articulations ne manquent pas d'amplitudes de mouvements, hormis pour celles du ventre, qui sont bien souvent bloqués par les épines dorsales.
Après, Godzilla n'étant pas non plus un ninja, il ne faut pas s'attendre à le mettre dans des positions ultra-dynamiques.
Pour finir, photo cross-over avec le sujet de ma prochaine review.
Mon avis n'a toujours pas changé en un an : cette figurine de Godzilla reste l'une des meilleures de ma collection, et l'une de mes préférées.
Pourquoi? La qualité de sa sculpture, de sa peinture; son grand nombre d'articulations permettant de lui donner quelques poses classes.
Bref, cette figurine m'a fait découvrir les SH Figuarts/Monsterarts, et j'en suis tellement satisfait, que j'ai réitéré à deux reprises par la suite l'achat d'un produit de Tamashii.
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